Règlement de l’Institut

Fondation Fulmina : Règlement de l’Institut

L’institut est en Accord avec les Déclarations et Conventions Suivantes :

  • La déclaration des Nations Unies du 1er janvier 1942.
  • La Charte des Nations Unies signée à San Francisco le 26 juin 1945 pour l’organisation internationale qui est rentré en vigueur le 24 octobre 1945.
  • La charte de l’UNESCO, organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture signée à Londres le 16 novembre 1945.
  • Le statut de la Cour Internationale de Justice faisant partie intégrante de la Charte des Nations Unies.
  • La déclaration universelle des Droits de l’Homme du 10 décembre 1948, signée à Paris, France.
  • La Convention des Droits de l’Homme et des Libertés fondamentales signée à Rome, Italie le 4 novembre 1950.
  • La convention sur l’élimination de toutes les formes de discriminations à l’égard des femmes, adoptée par l’assemblée générale des Nations Unies le 18 décembre 1979.
  • La convention internationale des Droits de l’Enfant approuvée par l’assemblée générale des Nations Unies le 20 novembre 1989.
  • La Charte des Droits fondamentaux de l’Union Européenne signée à Nice, France le 7 décembre 2000.

Les Préambules

L’humanité est responsable de l’ordre, du désordre, de l’équilibre ou du déséquilibre de la planète.

La réalité des phénomènes sociaux, économiques et géopolitiques limite notre action et notre entreprise dans des actes industriels, humanitaires et écologiques.

Chaque chose et chaque être vivant ont leur place et leur rôle dans la marche du monde et le bon fonctionnement de la vie planétaire.

Les exigences du développement socio-économique, les choix géopolitiques, les multiples erreurs de l’humanité, la compétition industrielle, et bien d’autres facteurs ont amené les êtres humains – durant des âges successifs – à engendrer une organisation planétaire dont les conséquences actuelles peuvent conduire l’homme sur une pente descendante et dangereuse.

L’humanité réduit sa vision à un univers microcosmique. Une loi d’interdépendance relie inéluctablement tous les êtres, toutes les choses, toutes les forces et énergies de l’univers.

L’évolution, le progrès et la croissance des hommes sont le résultat des efforts créatifs et unifiés de tous. Il est dans l’intérêt de tous de manifester une bonne volonté générale dans le partage des valeurs planétaires. Il nous appartient d’agir en être mature et responsable en accord avec les lois naturelles.

Afin de promouvoir l’élan créatif, la recherche et l’enseignement, l’Institut est soucieux de préserver les équilibres écologiques, de favoriser l’éveil des consciences, de promouvoir les entreprises éducatives, culturelles, artistiques, de nature supranationale et apolitique, observant les lois des pays.

Pour préserver sa propre autonomie, l’Institut fait appel :

  • À la déclaration des Nations Unies du 1er janvier 1942,
  • À la Charte des Nations Unies signée à San Francisco le 26 juin 1945. A la fin de la conférence des Nations Unies pour l’organisation internationale qui est rentré en vigueur le 24 octobre 1945,
  • À la Charte de l’UNESCO, organisation des Nations Unies pour l’éducation la science et la culture signée à Londres le 16 novembre 1945,
  • Au statut de la Cour Internationale de Justice faisant partie intégrante de la charte des Nations Unies,
  • À la Déclaration universelle des Droits de l’Homme du 10 décembre 1948, signée à Paris, France,
  • À la Convention des Droits de l’Homme et des Libertés fondamentales signée à Rome, Italie le 4 novembre 1950,
  • À la Convention sur l’élimination de toutes les formes de discriminations à l’égard des femmes adoptée par l’assemblée générale des Nations Unies le 18 décembre 1979,
  • À la Convention internationale des Droits de l’Enfant approuvée par l’assemblée générale des Nations Unies le 20 novembre 1989,
  • À la Charte des Droits fondamentaux de l’Union Européenne signée à Nice, France le 7 décembre 2000,
  • Aux lois spécifiques des pays et des organisations internationales qui, dans le sens des principes de la déclaration du Conseil de la Fondation Fulmina et des statuts de la Fondation Fulmina, la reconnaissent comme une Entité Morale à vocation Humanitaire Internationale.

Objectifs de l’Institut

L’Institut entend exprimer sa vocation humanitaire dans une intention interconfessionnelle, supranationale et apolitique. Il entend concrétiser la promotion du perfectionnement matériel et moral, élever la culture générale et le niveau des consciences individuelles, encourager le progrès spécifique de chacun des peuples, des sociétés et des nations, épanouir en chacun les concepts du Bon, du Beau, du Vrai, du Juste, de l’Utile et de l’Agréable, poursuivre une quête de sagesse en rapport avec les valeurs éternelles et universelles, susciter une saine émulation à la création d’entreprises, à la recherche scientifique, de projets artistiques, à la spéculation philosophique, à la réflexion métaphysique, à la méditation mystique.

L’Institut entend rassembler des écrivains, des poètes, des travailleurs, des artisans, des scientifiques, des ingénieurs, des peintres, des sculpteurs, des chercheurs, des musiciens. Il entend dynamiser toute initiative utile relevant du développement et de l’amélioration de la culture générale et professionnelle. Il entend rédiger des informations et des notices, susceptibles d’intéresser la culture générale et assurer ainsi l’éveil des valeurs civiques planétaires par l’emploi de tous supports modernes de diffusion et de communication.

L’Institut entend favoriser les échanges culturels, littéraires, artistiques, scientifiques, philosophiques et religieux, dans l’intention noble de promouvoir la fraternité des nations et des peuples.

L’Institut entend lutter contre les formes d’injustice planétaires, car l’injustice est mère de toutes les violences. Il entend soutenir tous projets dans les divers domaines de la Science, de la Médecine, de la Culture, de l’Éducation, de l’Environnement, de l’Agriculture, de l’Industrie, du Social et tout ce qui contribue à l’épanouissement créatif de notre société humaine.

L’Institut soutiendra toute action humanitaire d’urgence nécessitant une intervention pour lutter contre la pauvreté, la famine, les catastrophes naturelles ou celles créées par l’homme lui-même.

Pour se faire, il entend réunir les hommes et les femmes de talent, mus par des intentions altruistes et désintéressées ; il entend collecter et regrouper les moyens et les ressources humaines dans tous les domaines, afin de développer et réaliser ses projets, y compris cinématographiques et audiovisuels.

L’Institut entend réunir les fonds nécessaires, étatiques et privés, et faire intervenir les outils financiers utiles du système monétaire international, en conformité avec l’éthique et les lois de chaque pays ; il entend agir en priorité avec ses moyens financiers et ses connaissances techniques dans les situations d’urgence planétaire pour l’environnement, la culture, l’éducation, l’agro-alimentaire, l’industrie, la technologie, la science, la médecine, la vie sociale et ses ressources financières.

Les sept départements de l’Institut (FHR)

Département 1. L’Environnement

Article 1. Notre planète est un admirable complexe…

Notre planète est un admirable complexe d’habitat humain et non-humain, dans un espace universel où tout est vie, et où tout devrait fonctionner en parfaite cohérence avec les véritables nécessités de l’évolution générale, non seulement humaine, mais aussi en rapport avec les différents règnes minéraux, végétaux et animaux ; sans ces ressources généreuses, l’homme ne saurait exister et vivre. Nous sommes un ensemble d’existences étroitement interdépendantes.

Article 2. En raison de la loi d’interdépendance…

En raison de la loi d’interdépendance des êtres et des règnes, nous sommes conscients que ce qui affecte un règne, affecte également tous les autres règnes d’existence, et ce qui afflige notre société, concerne tous les hommes. Aussi notre vigilance, notre lucidité, notre responsabilité et notre action doit appeler l’Institut à plus de sagesse, à faire preuve de responsabilité éthique au sens universel, afin de préserver, protéger et focaliser la conscience humaine, vers ce qui est essentiel, au bon respect de son habitat planétaire.

Article 3. L’homme ne peut croître en force en sagesse…

L’homme ne peut croître en force, en sagesse, en amour et en lumière au sein du complexe universel que s’il acquiert la conscience de sa responsabilité globale, la connaissance des structures les plus subtiles de son vaste environnement cosmique, et bien entendu s’il manifeste tout son respect à la Nature constituée de toutes ses forces, pour la plupart encore inconnues de lui, qui l’entourent, lui donnent vie et lui sont une source inépuisable d’inspiration, de rêve et de bonheur.

Article 4. La sauvegarde de l’environnement…

La sauvegarde de l’environnement planétaire est une condition « sine qua non » de l’action et des entreprises initiées par l’Institut. Les conditions actuelles de la vie planétaire en ce 21ème siècle ont tout lieu de nous rendre inquiets : désordre climatique, déforestation générale et sécheresse, désertification et catastrophes naturelles, pollution de l’air, empoisonnement de la terre et des eaux, inaccessibilité à l’eau potable d’une bonne partie des populations, appauvrissement et exploitation abusive des richesses de la planète, manipulation biogénétique, bref… désordres et déséquilibres planétaires généraux.

Article 5. Par notre action humanitaire…

Par notre action humanitaire, nous voulons une reconsidération de la Nature et de toutes ses valeurs, qui sont le bien général de tous. L’eau, l’air, la terre appartiennent à tout le genre humain qui sera tenu pour responsable de leur devenir. Nous devons faire en sorte que, par nos actions présentes, les générations futures trouvent à leur disposition les ressources nécessaires à leur existence et puissent être capables à leur tour de pallier les conséquences des erreurs humaines contemporaines.

Article 6. A travers la réalisation et la concrétisation…

A travers la réalisation et la concrétisation de nombreux projets, l’Institut entend s’engager à faire respecter, à protéger, à renouveler la nature et les principes du vivant. Les hommes, par l’éveil d’une conscience plus vaste, doivent s’abstenir d’être les complices inconscients de toutes actions susceptibles de détruire l’environnement et la biodiversité qui le compose, d’épuiser les ressources naturelles, de s’adonner à l’exploitation irréfléchie et scandaleuse des ressources vitales de la terre.

Article 7. Il nous appartient de faire preuve…

Il nous appartient de faire preuve, non seulement de lucidité éthique, mais encore d’un sens universel du devoir, afin d’assurer les équilibres écologiques, dans une période de l’histoire où les forces économico-industrielles poussent les individus à la compétition irréfrénée et les restreignent dans leur quête générale du bonheur.

Article 8. Vers 2030 il est à peu près assuré…

Vers 2030, il est à peu près assuré que 80 % de la nature sera susceptible de pâtir des effets dévastateurs et des conséquences destructrices de l’activité humaine présente si l’homme ne fait rien pour changer en toute urgence.

Département 2. La Culture et l’Éducation

Article 1. L’éducation et la culture sont les bases…

L’éducation et la culture sont les bases de l’évolution de la conscience et de la socialisation des individualités humaines. Elles sont les outils principaux qui forgent la paix des peuples et constituent un gage de dialogue et d’échange conduisant à une meilleure connaissance de soi et du monde.

Article 2. L’éducation est une des grandes forces constructives…

L’éducation est une des grandes forces constructives de l’humanité. La culture est l’identité de sa mémoire, l’héritage de tous les savoirs et de toutes les expériences humaines à travers les âges. La perte de notre histoire et des cultures internationales et nationales des peuples constitue une catastrophe humanitaire et réduit l’homme à la condition primitive.

Article 3. L’éducation et la culture confèrent à l’homme…

L’éducation et la culture confèrent à l’homme sa véritable dignité et le rendent confiant face aux vicissitudes de l’existence. Elles sont des facteurs d’inventivité, de saine productivité et de travail pour tous. L’évolution des sociétés humaines en dépend. Leurs élaboration et mise en œuvre doivent être l’expression des libertés fondamentales de la nature humaine. Elles doivent être à la portée de tous et de chacun.

Article 4. À la date de l’écriture de ce règlement…

À la date de l’écriture de ce règlement, des dizaines de millions d’enfants dans le monde ne vont pas à l’école ; plus de la moitié sont des filles ; 26% d’entre elles ne terminent pas les 6 années d’éducation de base ; plus d’1 milliard d’adultes sont analphabètes ; plus de 250 millions d’enfants de 5 à 17 ans dans le monde sont astreints au travail, dont plus de 500.000 enfants soldats, plus de 9 à 10 millions soumis à l’esclavage, plus de 2 millions soumis à la prostitution ; 90 % des esclaves domestiques sont des jeunes filles âgées de 12 à 17 ans, etc.

Article 5. Face à ce triste et déplorable constat…

Face à ce triste et déplorable constat largement sous-estimé pour les années à venir, l’Institut désire entreprendre des actions spécifiques qui portent sur les points suivants :

  • Médecine : rendre accessible au plus grand nombre des produits de soins de très haute qualité. Création d’un hôpital et d’un centre de soins utilisant des technologies de pointe et la médecine traditionnelle,
  • Création d’une bibliothèque en ligne et analogue pour la documentation et la recherche,
  • Edition d’ouvrages rares et anciens,
  • Agriculture : financement de projets d’agriculture biologique et aide à la reconversion, protection du patrimoine des variétés de graines anciennes,
  • Industrie : analyse, soutien et financement pour des technologies à énergie libre et autres projets à technologies évolutives et respectueuses de l’environnement et de la santé des êtres humains,
  • Environnement : application de technologies de pointe pour la régénération de la faune, de la flore et plus particulièrement des océans,
  • Alimentation humaine : construction de zones de stockage alimentaire biologique pour faire face aux différentes catastrophes naturelles ou provoquées par les hommes,
  • Urgences humanitaires : construction de zones de stockage de tout l’équipement sanitaire, médical, etc. pour faire face aux différentes catastrophes naturelles ou provoquées par les hommes,
  • Financement d’infrastructures pour les orphelinats.

Article 6. Pour l’exécution de projets humanitaires…

Pour l’exécution de projets humanitaires, nous ferons tout notre possible afin de soutenir, là où il y a urgence dans le monde, les principes fondamentaux d’accès à l’éducation et à la culture, et à leur libre expression par tous les êtres humains de bonne volonté.

Article 7. L’institut estime que l’humanité entière doit être engagée…

L’institut estime que l’humanité entière doit être engagée dans la course à la perfection, et qu’à ce titre, l’éducation et la culture sont une évidence de l’Homme intégral, une exigence fondamentale pour la croissance des peuples et des civilisations, afin d’instaurer sur terre une ère de fraternité et de paix durable.

Département 3. L’Agro-alimentaire

Article 1. Depuis toujours, notre planète porte en son sein…

Depuis toujours, notre planète porte en son sein d’abondantes ressources vitales, nécessaires à l’entretien, à l’épanouissement et à l’évolution spirituelle de la condition humaine. La nature offre tout en abondance à l’humanité.

Article 2. La mondialisation a révélé les égoïsmes fondamentaux…

La mondialisation a révélé les égoïsmes fondamentaux des peuples, et notamment des pays industrialisés, régis par les puissances financières. Elle impose aux sociétés un mode de vie, des choix et des développements économiques problématiques, où les disparités économico-industrielles créent des monopoles et des dominations multinationales sur les modes de consommation et de production, et ne font que creuser davantage les injustices et les crises agro-alimentaires au niveau planétaire.

Article 3. En outre, l’exploitation abusive extrême des ressources…

En outre, l’exploitation abusive extrême des ressources mondiales, le contrôle des semences et des industries chimiques et pharmaco-dynamiques, la biogénétique et les qualités nutritionnelles médiocres de l’alimentation plongent l’humanité, en surpopulation croissante et en démographie galopante, dans une crise agro-alimentaire sans précédent qui accentue les déséquilibres écologiques et énergétiques.

Article 4. En la matière, l’Institut entend mener…

En la matière, l’Institut entend mener à terme des projets qui tiennent compte du développement durable de la bioéthique. Il faut apporter une aide pour accroître une meilleure qualité agricole afin de se nourrir de façon saine et équilibrée, de cultiver, de produire, d’exploiter avec équilibre nos ressources agro-alimentaires, dans le but de maintenir un équilibre nutritionnel et immunitaire naturel.

Article 5. Il s’agit de permettre aux peuples…

Il s’agit de permettre aux peuples l’accès libre aux semences (non modifiées génétiquement), patrimoine de leur culture, et aux outils de production que nécessite l’exercice d’une agriculture saine. Il s’agit d’assurer aux peuples la gestion pacifique et durable des fondamentaux dans le domaine agro-alimentaire mondial, et de permettre à ceux-ci une indépendance alimentaire. Il s’agit d’informer judicieusement les peuples sur les dangers que représentent, pour eux et leur écosystème, toutes manipulations (génétiques) non respectueuses des équilibres dans les règnes végétal et animal ainsi que l’emploi de substances chimiques, de rayons et d’ondes susceptibles de provoquer l’altération des gènes qui forment l’identité et la spécificité de l’espèce humaine, des règnes animal et végétal.

Article 6. L’agriculture a la noble mission…

L’agriculture a la noble mission d’assurer la croissance végétale, l’entretien et la restauration des formes animales et humaines, dans un esprit de joie et de partage, qui favorise la quête spirituelle de l’humanité, son équilibre et sa longévité.

Département 4. Industrie et Technologie

Article 1. La pauvreté économique…

La pauvreté économique, qui provoque l’exclusion sociale des individus, constitue – dans toutes les sociétés – une atteinte à la dignité humaine, un crime contre l’humanité, et une dénégation des Droits de l’Homme. Malgré les prouesses technologiques, les grandes espérances suscitées par la mécanisation à outrance et les progrès de l’informatique dont l’intelligence artificielle, la globalisation et le libéralisme économiques n’ont fait qu’aggraver pauvreté et disparités sociales.

Article 2. Nous sommes loins d’avoir supprimé les grands maux…

L’homme espère conquérir l’espace et coloniser d’autres planètes de notre système solaire mais il ne pense pas à soulager la misère humaine. L’institut s’efforce de mettre en œuvre des réflexions face à l’apparition de nouvelles technologies qui provoquent l’émergence de nouveaux problèmes encore plus dangereux qui vont jusqu’à terroriser par leurs conséquences la race humaine. A l’ère des performances dans la communication mondiale, les sociétés et les individus connaissent l’isolement et la solitude : le monde du capital a divisé l’humanité et a accru les disparités sociales. Nous devons penser aux futures générations qui risquent de nous poser de sérieuses questions sur les graves conséquences et nous demander de rendre des comptes sur notre état social et sur la perte des variétés de la flore et des races animales.

Article 3. Les succès du génie humain…

L’évolution de la conscience éthique et spirituelle n’ont pas suivi les succès du génie humain. La main mise, sur les industries techniques par les grands groupes industriels, n’a fait qu’aggraver la misère psychologique des peuples privés de leur souveraineté et de leurs droits à l’auto-détermination. Cela a entrainé une recrudescence des aliénations mentales pour toute génération et couches sociales sur la planète.
Dans l’esprit de l’institut, nous devons en conséquence :

Article 4. Appliquer une philosophie de vie…

Appliquer une philosophie de vie basée sur le respect mutuel des individus, l’échange, le partage équitable, les relations basées sur le pacifisme, l’entente mutuelle, la suppression des rapports de force et des menaces.

Article 5. Maintenir l’homme dans son propre milieu…

Maintenir l’homme dans son milieu d’origine afin de lui permettre d’adapter son mode de vie par le maintien de l’artisanat et de la production locale, le commerce de proximité et l’accès à des ressources équitables.

Article 6. Adapter la technologie générale…

Adapter les nouvelles technologies aux besoins locaux, favoriser les énergies saines et non polluantes aux besoins vitaux et fondamentaux des populations locales.

Article 7. Faire participer la population locale…

Faire participer la population locale dans les projets évolutifs où elle doit être partie prenante. Redonner aux communautés des raisons nobles d’exister et de vivre, en évitant toute forme d’exclusion sociale, éducative, culturelle, professionnelle. Veiller au droit au travail et au logement décent pour tous et à la solidarité collective afin que la misère ne soit plus qu’un mauvais cauchemar.

Article 8. S’appuyant sur les différentes chartes…

S’appuyant sur les différentes chartes, déclarations et conventions universelles ou internationales (citées page 4) l’institut requiert le soutien des compétences étatiques et industrielles, de tous les acteurs et décideurs de bonne volonté de ce monde.

Article 9. L’institut a une connaissance pratique de la finance internationale

L’institut a une connaissance pratique de la finance internationale. L’institut a des partenaires financiers privés et publics pour développer ses nouveaux projets. Nos intérêts avec nos partenaires sont porteurs de solutions d’équilibre de vie sociale et économique dans le cadre de nos projets humanitaires.

Article 10. En fonction des ressources financières

En fonction des ressources financières engagées, l’institut veillera à ce que les conséquences de chaque projet engagé par la Fondation Fulmina soit bénéfique et mise au service du bien-être, du développement, de l’évolution des sociétés, et non au service de causes pouvant provoquer des déséquilibres qui aliènent l’équilibre de la planète, la conscience et l’intelligence humaines.

Département 5. Science et Médecine

Article 1. La volonté de l’institut est de concrétiser…

La volonté de l’institut est de concrétiser activement les projets pour lesquels elle s’engage. Fidèles à notre idéal et aux statuts de la Fondation Fulmina , nous nous engageons à respecter la vie et la dignité humaine.

Article 2. L’institut veut initier une dynamique…

L’institut veut initier une dynamique qui rassemble les pensées scientifique, littéraire, philosophique et métaphysique, dans un idéal de respect et de conscience de l’évolution universelle et répondre aux besoins des scientifiques, des chercheurs, des créateurs, des novateurs, des philosophes, des inventeurs, des techniciens autodidactes, de toutes personnes altruistes et philanthropes, décidés à œuvrer très activement dans la poursuite du même objectif humanitaire.

Article 3. Il coordonne les diverses disciplines…

Il coordonne les diverses disciplines de la Science et de la Médecine, synthétise et supervise les résultats de la recherche globale afin de les enseigner et de les appliquer à l’art médical.

Article 4. L’institut supporte les soins préventifs préventifs …

L’institut supporte les soins préventifs, les compléments alimentaires , les remèdes essentiels, les médicaments, les génériques basiques afin qu’ils soient accessibles à tous. L’institut préfère cependant prévenir que guérir.

Article 5. Il fédère et établit un partenariat libre…

Il fédère et établit un partenariat libre, solide et privé, avec les chercheurs en biomédecine, science naturelle, biologie végétale et marine, sciences interdisciplinaires, etc., pour la recherche fondamentale et/ou une application directe.

Article 6. Avec les progrès rapides de la génétique…

Avec les progrès rapides de la génétique, l’industrie pharmaceutique vit une véritable révolution. Les nouveaux médicaments ou remèdes sont pour la plupart issus du développement des biotechnologies qui demandent une éthique de non-toxicité toute particulière et de respect à long terme de l’identité humaine et de son immunité (animale et végétale) tant physique que psychologique. Les grands groupes internationaux ne sont pas adaptés aux besoins des populations défavorisées de notre planète et ces dernières sont désireuses de sauvegarder et protéger leurs médecines ancestrales et peu coûteuses.

Article 7. Conscient de cette réalité dans le nouvel ordre mondial…

Conscient de cette réalité dans le nouvel ordre mondial, nous devons initier de nouveaux modes de vie et d’existence, l’institut entend œuvrer avec prudence, mais détermination et efficacité, afin que nous parvenions à aider l’humanité (par l’esprit d’une éthique irréprochable) à conserver l’immunité naturelle de ses défenses acquises depuis des siècles, avoir accès aux soins médicaux et jouir d’une santé qui est source de joie et de bonheur, en adéquation avec un monde pleinement évolutif et soucieux de son avenir, sachant que la santé est un trésor de la vie.

Département 6. Vie Sociale

Article 1. Notre race humaine est responsable…

Notre race humaine est responsable de tous nos problèmes : ils sont les conséquences de multiples désordres qui déséquilibrent notre vie sociale et la vie de notre planète. La vie humaine sur le plan social est ce que nous en faisons. Le tissu social est objectivé par des myriades de fils plus ou moins subtils, constitués par les relations humaines où se mêlent le cosmos, l’univers, la planète, la nature, les hommes, les règnes de la nature, les sciences, les technologies, l’économie planétaire, la géopolitique, etc. L’homme y exprime son génie naturel, ses envies, ses espoirs, ses attentes, ses croyances, ses rêves. Par l’éducation, la culture, le savoir transformé en connaissance et celle-ci en sagesse, l’humanité a le pouvoir de transmuter le tissu social tout entier. Nous évoluons et construisons par le tissage même des liens multiples et complexes de nature interculturelle, inter-sociale, interactive et interdépendante.

Article 2. Il nous appartient par conséquent de nous engager…

Il nous appartient par conséquent de nous engager dans des projets raisonnables afin d’améliorer les conditions de vie de nos sociétés et de réhabiliter l’homme dans ce qu’il a de plus essentiel, c’est-à-dire la vie : vivre en paix et heureux avec tous et chacun pour l’évolution collective et personnelle.

Article 3. L’institut entend lutter contre…

  • La malnutrition,
  • L’inaccessibilité à l’eau potable, aux installations sanitaires décentes et aux logements confortables,
  • L’inaccessibilité aux systèmes de santé,
  • L’inaccessibilité à l’éducation gratuite et libre, sans discrimination raciale et sexuelle,
  • L’illettrisme et l’analphabétisme,
  • L’asservissement et la maltraitance des femmes, des hommes, des vieillards, des enfants et bien entendu des animaux,
  • Les formes modernes et subtiles d’esclavagisme,
  • Le travail des enfants,
  • Les diverses formes d’exploitation et de trafics humains, enfants et adultes,
  • Les divers fléaux affectant l’environnement,
  • La paupérisation sociale et la pauvreté individuelle,
  • L’absence de développement durable et équitable affectant les modes de vie,
  • La discrimination raciale, culturelle, religieuse, politique, professionnelle,
  • L’inapplication mondiale des Droits de l’Homme,
  • La sauvegarde du patrimoine littéraire et culturel.

Article 4. Tous les êtres humains méritent le respect…

Tous les êtres humains méritent le respect dans leurs diversités socio-culturelle, interconfessionnelle et philosophique. Aucune nation, aucune minorité ethnique ou culturelle ou religieuse, aucune culture, ne doit faire l’objet d’une quelconque exclusion sociale. Tout individu doit et peut participer à la vie collective des nations, apportant chacun sa contribution à l’évolution générale de la conscience planétaire. Personne ne doit être tenu à l’écart des bienfaits, des droits et devoirs qu’implique tout développement vers le progrès. Les principes fondamentaux de l’éthique et de la justice sociales s’appliquent inconditionnellement à tous, majorité et minorité, fort et faible, riche et pauvre, ouvrier et savant.

Article 5. L’Institut de la Fondation Fulmina

L’Institut de la Fondation Fulmina s’appuie sur le principe de non-nuisance (principe d’innocuité), y compris pour le règne animal et végétal, où l’institut contribue à l’amélioration générale de la vie humaine.

Département 7. Financement

Pour fonctionner et financer ses projets, la Fondation Fulmina et son Institut bénéficient de l’apport de :

Article 1. Fonds propres…

Apports de fonds ou d’actifs financiers, mobiliers ou immobiliers, de ses membres ou associés, d’organisations privées ou publiques.

Article 2. Fonds externes…

  • Allocations de fonds privés,
  • Apports de fonds ou d’actifs financiers de participants privés ou publiques dont les profits sont attribués à la réalisation de projets déterminés ou contractuels,
  • Les partenaires impliqués dans les projets,
  • Le mécénat.

Article 3. Pour assurer la bonne gestion des capitaux…

Pour assurer la bonne gestion des capitaux attribués à la Fondation Arya et son Institut, l’institut de la Fondation Fulmina s’appuie sur une pratique financière et une maîtrise efficace des techniques bancaires de gestion d’actifs financiers du système institutionnel.

Article 4. La Fondation Fulmina et son Institut…

La Fondation Fulmina et son Institut est dans son ensemble un organisme privé agissant librement en respect des accords internationaux.

Article 5. Les objectifs et projets doivent rester libres…

Les objectifs et projets doivent rester libres dans l’exécution et la réalisation concrète de leurs actions.

Article 6. La Fondation Fulmina…

La Fondation Fulmina est une structure à la fois privée et juridique de caractère international, en accord avec le droit international humanitaire suivant les accords souverains signés par les 193 pays membres de l’Organisation des Nations Unies.

Article 7. La Fondation Fulmina est de ce fait référencée…

La Fondation Fulmina est de ce fait référencée dans les institutions internationales citées en page 4 : base de la déclaration de la Fondation Fulmina .

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